Le train de nuit

(2008)

“Et je reste immobile devant cette chose énorme, toute cette masse de ferraille sous la couche de poussière. Pas de lumière à l’intérieur : les vitres semblent opaques. Elles me renvoient mon reflet délavé au clair de lune.”

Une nuit, sur un quai de gare, Raphaëlle attend un train qui ne viendra que pour elle. Celui qu’on n’appelle de ses vœux que dans certains cas désespérés.

 

Cette nouvelle a été publiée dans les recueils suivants :