“Une porte s’est ouverte ce jour-là, celui des trois renards. Quelque chose change de manière subtile quand on a fait cette expérience : on ne joue plus jamais seul. Ils n’apparaissent pas toujours mais on sait chaque fois, au moment de prendre l’archet, qu’ils peuvent se dévoiler. Même en répétition, on ne joue plus seulement pour soi. On joue tendu vers la possibilité de leur présence.”

Ce soir-là, Livia s’est découvert un don lié à la musique qui naît de son violon. Ce soir-là aussi, elle a rencontré Vincent, pour le meilleur et pour le pire. Et plus rien, jamais, n’a été pareil.