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Précommandes et revue de presse pour “Nous qui n’existons pas”

Mon sixième livre et premier ouvrage de non-fiction, Nous qui n’existons pas, paraîtra le 1er octobre aux éditions Dystopia. Les précommandes viennent d’ouvrir sur le site de l’éditeur jusqu’au 20 septembre. Les livres dédicacés seront soit postés chez vous la semaine suivant la réception des palettes, soit mis à votre disposition à Paris à la librairie Scylla (dans ce cas, vous serez prévenu par mail).

 

En attendant la sortie officielle, quelques chroniques ont commencé à paraître sur différents blogs. En voici un premier aperçu :

Mandolino : “La narratrice est exigeante, avec elle-même, avec son écriture toute en spirale, qui décrit sans concession les phases de sa recherche. Longuement, par petites touches successives, elle délivre le fond des éléments l’ayant amenée au bout de plusieurs années à une véritable libération des carcans sociaux.”

Reflets de mes lectures : “Nous qui n’existons pas est une lecture qui éclaire le parcours d’une autrice (ses textes prennent une autre dimension suite à cette lecture), mais aussi et surtout qui peut apporter confort pour ceux qui se sente décalé par rapport à la norme et, pour ceux dans la norme (c’est mon cas), une ouverture sur une autre manière d’être humain et de voir le monde.

Une lecture qui me semble importante dans le monde d’aujourd’hui.”

Blog de Murphy et Poppy : “Un texte universel, qui, à mon sens, appelle à la compréhension et à l’acceptation de ceux/celles -et ils sont nombreux.ses- en marge de la “norme”.”

Our Dark Materials  : “Car l’on puise un réconfort véritable dans cette lecture. Le réconfort de se trouver différent mais non ‘anormal’, le réconfort de voir que les limites, les cases et les définitions ne possèdent pas des frontières immuables mais peuvent bien être redessinées à l’aune de notre identité propre. Et l’autrice nous tend ce crayon magique qui va nous permettre de tracer nos propres contours.”

Iel était une fois  : “Nous existons en tant qu’être complet. Nous pouvons nous désintéresser des couples, des histoires d’amour, et partir explorer d’autres horizons sans être vide, sans être incomplet, sans être bizarre, sans être inexistant.”

Blog de Yael Assia : “Ce livre, dit « de non fiction« , très personnel, c’est aussi le récit (qu’on peut lire à plusieurs niveaux, comme les textes de fiction) du parcours et de l’évolution d’une autrice – et de sa voix.”

Culture Remains : “Avant toute chose, à travers ce dévoilement intime, l’autrice offre une voix à sa singularité. Cette voix qu’elle n’a trouvé dans aucun livre, aucun article de sa connaissance, afin que d’autres puissent s’y reconnaître, puissent se dire « je ne suis pas seul, ce n’est pas une anormalité, j’ai le droit de vivre ainsi ».”

Livropathe : “Nous nous construisons par rapport à autrui, dans nos ressemblances et dans nos différences. Ce sont deux façons, ou peut-être une seule en fait, d’appréhender à la fois l’autre et notre propre individualité. Ce n’est pas forcément une comparaison permanente, mais quand on le réalise cela permet aussi de comprendre les nuances, de se mettre plus facilement à la place de l’autre pour tout ce qui est lui et n’est pas nous. Ainsi se développe l’empathie. Pour autant, ce qui nous entoure n’est pas si binaire et je l’ai ressenti en lisant cet ouvrage.”

Blog de Lan Gyalsen : “Mais toute non-fiction n’est pas théorie. “Nous qui n’existons pas” n’en est pas, ni non plus un essai. Il s’agit plutôt d’une longue lettre personnelle adressée au lecteur, d’une confidence intime et précieuse qui narre, à fleur de peau mais avec le recul d’une certaine analyse, quelque chose comme une trentaine d’années de vie autour de la question lancinante « ai-je le droit d’être comme je suis, ou bien ai-je un problème à soigner ? »”

Ambargo’s reviews : “Quel que soit le point qu’elle aborde, son écriture porte le propos et on oublie rapidement que l’on est pas en train de lire une de ses nouvelles ou que les essais nous ennuient. Il ne reste plus que le plaisir de la lecture. L’émotion de lire un texte à la fois intime et à la portée universelle, sur la vision binaire du monde, la norme, ce que signifie être soi vis-à-vis de celle-ci.”

Survivre la nuit : “Pourtant, ce livre m’a énormément parlé, et je pense qu’il parlera tout autant à beaucoup, beaucoup de lectrices et de lecteurs. Peut-être, justement, parce qu’il est intime, individuel. Après tout, c’est aussi comme ça que fonctionnent les romans, non ? En nous parlant de personnages précis, d’individus nommés, ils nous offrent des miroirs et des caisses de résonance pour nous comprendre nous-mêmes un peu mieux. Ca a toujours été la raison d’être de la fiction. Ecrire le spécifique pour parler du général.”

Le troll, l’ombre et le robot : “Ce n’est pas une fiction. Ni un essai, ni un simple témoignage, ni à proprement parler une confession. C’est déjà un peu d’elle, qu’elle veut bien partager : c’est un délicat tissu de mots qui dénonce le poids social des mots, et qui suscite l’envie de lui répondre sans nous réduire, nous toutes et tous, à un seul mot.”