Actualités - page 11

Lecture de “Trois renards” avec The Deep Ones

Extrait du concert de lectures musicales donné avec le collectif The Deep Ones lors du festival Echos & Merveilles à Bruguières, le 28 avril 2018.

Les musiciens sont : Ophélie Bruneau, Shan Millan, Ghislain Morel, Christophe Thill, Stefan Platteau.

Le texte est un extrait de ma nouvelle “Trois renards” tirée du recueil Le jardin des silences.

Un grand merci à Isabelle Marcelly pour la vidéo.

 

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Rencontres et salons d’avril

Ces derniers mois furent plutôt calmes pour moi en termes de rencontres et salons, mais la deuxième moitié d’avril s’annonce agréablement remplie à cet égard. J’y participerai coup sur coup à trois événements :

  • D’abord une rencontre organisée par la médiathèque de l’Espal du Mans, le samedi 14, avec également Laurent Whale, à partir de 14h.
  • Le week-end du 21 et 22 avril, je serai également présente au festival des Intergalactiques de Lyon, pour deux journées de dédicace et une table ronde le dimanche à 14h (“Qui écrit et pour qui ?”).
  • Le 27 et 28, enfin, je serai présente au festival Échos et Merveilles qui se déroulera en extérieur à Bruguières, près de Toulouse. Outre ma présence en dédicace, j’aurai le grand plaisir d’y retrouver mes camarades The Deep Ones pour deux concerts de lectures musicales. Seront présents cette fois Ghislain Morel, Christophe Thill, Ophélie Bruneau, Shan Millan, Sire Cédric, Patrick Eris, et nous accueillerons également parmi nous, pour la première fois, Stefan Platteau.

D’autres participations à des festivals sont prévues plus tard dans l’année, je les annoncerai en temps et en heure.

 

 

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Un nouveau livre cet automne

Le 26 juin dernier, quelques mots publiés ici même ont changé ma vie en profondeur. J’ai dévoilé une partie de mon histoire que je gardais secrète jusqu’alors et, ce faisant,
reçu de nombreuses réactions que je n’attendais pas, qui m’ont chamboulée et poussée à prolonger ma réflexion sur les sujets abordés : la norme et la différence, le regard des autres, le célibat, la solitude et les présupposés qu’on y attache, la difficulté de se construire quand on n’est “pas comme les autres”. À plus forte raison lorsqu’on ne vous croit pas, parce que vous correspondez à un cas de figure qui ne porte pas de nom précis et n’apparaît jamais dans les médias ou la fiction. Il y en avait d’autres comme moi, et je ne le savais pas.

Au cours des semaines qui ont suivi, un autre texte est né, qui prolonge ce billet. Un court livre de non-fiction, du format d’une novella, qui est une sorte de témoignage personnel. Il parle aussi, entre autres choses, d’écriture, de la façon dont on s’y dévoile ou non lorsqu’on passe sa vie à cacher ce que l’on est, et de ce qu’une prise de parole transforme ensuite dans votre rapport aux autres. C’est une forme de cliché de dire qu’un texte s’écrit tout seul mais ce fut le cas de la première version de celui-là, rédigée en moins de dix jours. Ce qui m’a d’autant plus étonnée que je me trouvais depuis un an dans une période de blocage pour l’écriture de fiction.

Ce texte s’apprête maintenant à voir le jour. Il sera publié cet automne chez Dystopia Workshop avec qui j’ai déjà collaboré à deux reprises, d’abord sur le recueil de Lisa Tuttle, Ainsi naissent les fantômes, dont j’avais sélectionné et traduit les nouvelles, puis sur le projet collectif Adar – Retour à Yirminadingrad. Il s’appellera Nous qui n’existons pas. Il sera illustré par Stéphane Perger et agrémenté d’une postface de Léo Henry, dont la route revient régulièrement croiser la mienne depuis nos débuts autour de l’an 2000 et qui a fait partie des tout premiers lecteurs de ce témoignage.

Bien que Dystopia, jusqu’à présent, n’ait publié que des ouvrages de fiction, il leur a semblé que ce texte s’inscrivait malgré tout dans leur ligne éditoriale car il rejoint les thématiques abordées par d’autres auteurs maison. Ils s’en sont expliqués il y a quelques jours sur leur blog.

Je suis ravie que l’occasion me soit ainsi donnée de vous présenter ce texte un peu hybride, un peu étrange à définir, et forcément très particulier pour moi. Je me réjouis d’autant plus de le savoir en de si bonnes mains et d’être entourée par l’équipe de Dystopia pour tenter cette expérience nouvelle, pour moi tout autant que pour eux.

Rendez-vous cet automne, donc. J’ai hâte que vous puissiez lire ces pages.

 

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Procrastination : vers une saison 3

Les derniers épisodes de la saison 2 de Procrastination, le podcast sur l’écriture en quinze minutes que j’anime avec Lionel Davoust et Laurent Genefort, viennent d’être enregistrés, comme l’annonçait Lionel sur son site il y a quelques jours. La suite de la saison sera diffusée jusqu’au 1er juillet inclus à raison d’un épisode toutes les deux semaines (le 1er et le 15 de chaque mois). Nous enchaînerons ensuite sur une troisième saison qui commencera cet automne.

Les prochains épisodes traiteront des thèmes suivants :

  • s02e14 – Se faire une scène (1e avril)
  • s02e15 – Les blocages (15 avril)
  • s02e16 – En avoir ou pas… du style (1e mai)
  • s02e17 – Choisir un bêta-lecteur (15 mai)
  • s02e18 – Tirer la couverture au livre (1e juin)
  • s02e19 – Choisir des noms (15 juin)
  • s02e20 – Talent Vs. travail (1e juillet)

En attendant, vous pouvez (ré)écouter le début de la saison 2 sur Soundcloud ou YouTube.

Un grand merci à Elbakin qui héberge notre podcast, ainsi qu’à vous tous qui nous écoutez et nous encouragez régulièrement. N’hésitez pas à nous faire des retours ou à nous suggérer des thèmes qui vous intéresseraient pour de futurs épisodes, nous en prenons toujours bonne note

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“Née du givre” traduite en anglais

Voilà quelques années qu’une de mes nouvelles n’avait été traduite en langue anglaise. Une nouvelle occasion vient de m’être offerte grâce aux efforts conjugués de Rachel Cordasco, qui travaille à faire connaître en anglais la littérature de genre écrite en d’autres langues, et de la traductrice Lynn E. Palermo.

“Née du givre”, écrite pour l’anthologie Le jardin schizologique puis reprise dans mon recueil Le jardin des silences, figure au sommaire d’un numéro spécial de la revue Anomaly, intitulé “Speculative Fiction in Translation By Women”. Elle s’appelle ici “Born Out of the Frost”.

Figurent également au sommaire des nouvelles de Jeon Sam-hye, Anne Richter, Xia Jia, Raquel Castro, Dorothy Tse, Serena Fiandro, Katja Bohnet et Laurence Suhner.

Pour découvrir la revue et son édito de Rachel Cordasco, c’est ici. La page consacrée à “Née du givre” est ici.

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