Blog : septembre 2011

Badaboum en première ligne

 

Première édition ce week-end du festival En première ligne d’Ivry-sur-Seine, qui proposait de rompre avec la formule traditionnelle des dédicaces en demandant à chaque participant d’apporter un objet personnel destiné à établir un contact avec les lecteurs. Pas de tables de dédicaces, mais des fauteuils où nous installer librement. À la table où je retrouvais des camarades auteurs dont certains pas revus depuis longtemps, il y avait entre autres un micro, quelques dés, une boîte du jeu Badaboum sur laquelle figurait un bonhomme moustachu qui a, nous apprit Léo Henry, traumatisé des générations d’enfants – et ma contribution personnelle, citron/gingembre et cannelle/fleur d’oranger :

 

 

  

L’occasion aussi (on ne se refait pas) de prendre des photos desdits camarades en pleine action :

  

Eric Holstein découvrant son sosie pictural.

 

Jacques Mucchielli, méditatif.

 

 

Laure Kloetzer en grande conversation.

 

 

 

Laurent Kloetzer absorbé par la lecture d’une nouvelle de Léo H. et Jacques M.

 

 

Léo Henry présentant son jeu de société convivial…

 

 

…ce qui occasionna une compétition effrénée, sous le regard perplexe de Jean-Marc Agrati.

 

 

 

La prochaine étape, ce sera une dédicace/vernissage autour de Kadath en compagnie d’une partie de l’équipe (Nicolas Fructus, David Camus, Raphaël Granier de Cassagnac et moi-même) à la librairie parisienne L’Antre-Monde, le samedi 8 octobre. En attendant de pouvoir vous annoncer une autre signature groupée, au mois de novembre, que j’attends avec une certaine impatience. (To be continued.)

 

 

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Intermède horrifico-gastronomique

Signalé par Lisa Tuttle sur Facebook : cette émission de 1990 où six spécialistes de l’horreur débattent des mécanismes de la peur et autres sujets similaires. Outre Lisa elle-même, y participaient Clive Barker, John Carpenter, Roger Corman, Ramsey Campbell et Peter Atkins.

 

 

 

 

Si vous passez samedi 24 au festival « En première ligne » d’Ivry où je serai en compagnie de Jean-Marc Agrati, Stéphane Beauverger, Léo Henry, Jacques Mucchielli et Laure et Laurent Kloetzer, je ne vous promets pas une conversation étincelante autour d’un repas gastronomique, mais je peux déjà vous garantir des biscuits ou petits gâteaux maison selon arrivage. (Ceci s’appelle un argument publicitaire.)

 

Et pendant ce temps, les petits plaisirs d’un vie de traducteur : après la redécouverte du gros rush d’euphorie qui accompagne la remise d’une longue traduction, et le décapsulage de bière qui s’ensuit pour fêter ça, enchaîner avec la traduction d’un livre pas encore sorti dans le commerce et pouvoir narguer les lecteurs ordinaires. Pour l’instant, The Alloy of Law de Brandon Sanderson s’annonce très bien. Il ne s’agit pas d’une suite directe de la trilogie Fils-des-brumes mais d’un roman situé trois cents ans plus tard dans le même univers, avec d’autres personnages, une autre intrigue et une technologie différente – les armes à feu ont été découvertes entre temps. D’où une ambiance de western mâtiné d’allomancie, là où la trilogie était plus proche d’un univers de fantasy classique. J’espère que le résultat sera aussi savoureux que l’idée de départ.

 

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