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Houston, we got a problem

Cette entrée sera brève pour cause de problème de connexion. J’écris depuis un cybercafé proche de Bastille (évidemment, le vidéo-club qui proposait un accès Internet tout près de chez moi ne le fait plus, ce serait trop simple). Le technicien ne passe que mercredi. Ma connexion a eu le bon goût de me lâcher au lendemain de mon gros coup de speed visant à rendre ma traduction de Graham Joyce dans les temps – si elle m’avait lâchée la veille, j’aurais été très emmerdée. Le seul truc qui me fait tiquer, c’est que ça tombe pile au moment où j’avais quelques jours pour jouer à World of Warcraft peinarde, histoire de boucler quelques affaires en cours avant la sortie de l’extension la semaine prochaine (j’ai presque rassemblé les sous virtuels nécessaires pour acheter une monture volante rapide à ma démoniste). Suis-je assez geek pour jouer à WoW au cybercafé ? Je me le demande. En tout cas, en attendant que je récupère ma connexion, je serai évidemment plus facile à joindre par téléphone en cas de nécessité.

Sinon, passé le gros coup de barre de ces derniers jours, tout va plutôt bien malgré la crève et les problèmes de connexion cités précédemment. Je me sens bizarrement toute légère à l’idée de passer tous les week-ends de novembre chez moi plutôt qu’en vadrouille. Enfin à part dimanche prochain, vu que je serai chez mes parents et qu’on rendra visite à ma frangine à Bruxelles, mais c’est plus reposant que de faire des salons. Et le week-end du 29 ne sera sans doute pas le plus reposant pour cause d’anniversaire, mais ça a toujours été pour moi le signal du début de la période des fêtes (et puis le meilleur moyen de bien vivre le fait de se prendre un an de plus dans les gencives, c’est encore de l’arroser). Je crois que je vais même avoir le temps de reprendre les expériences culinaires du dimanche que j’avais laissées de côté ces derniers temps. Et en plus, j’ai avancé hyper vite lors de mes deux premiers jours de travail sur Industrial Magic de Kelley Armstrong. Joie, bonheur, etc.

Pendant que j’y suis, je voulais signaler une exposition qui se tiendra tout le mois de novembre à Paris. J’ai déjà parlé ici de mon amie photographe Vinciane Verguethen qui fait partie des matelots du Cargo et qui m’avait fait l’an dernier une chouette série de portraits que j’ai pas mal utilisée sur mon site et ailleurs. Dire que je suis en admiration devant ses portraits, ses photos de concert et son travail en général serait un euphémisme. Une série de photos que Vinciane a prise à Belgrade récemment est exposée dans le cadre d’un projet baptisé La nostalgie appliquée. Il s’agit d’une sorte de dialogue entre un photographe français (Vinciane en l’occurrence) et un photographe serbe prenant chacun des photos de la ville de l’autre. Tous les détails sont disponibles ici. Je compte bien trouver un moment pour aller jeter un oeil à cette expo dans le courant du mois. C’est curieux comme on se découvre du temps libre en l’absence d’accès internet.

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