Blog : catégorie Non classé - page 8

Vidéo geek

 

(Attention, pub éhontée inside.) Vous avez toujours rêvé de voir Fabrice Colin, Laurent Genefort, David Calvo, Mathieu Gaborit et votre serviteuse parler de la fantasy, de leur découverte des jeux vidéo, des liens entre les deux et de leur rapport avec tout ça ? C’est cette semaine sur la chaîne Nolife et http://www.nolife-tv.com/

 

 

 

 

Vous rêvez aussi d’entendre Ellen Kushner, Francis Berthelot, Jean-Philippe Jaworski et votre-toujours-serviteuse lire des extraits de leurs textes ? C’était aux Imaginales tout récemment, c’est désormais sur ActuSF. Sauf erreur de ma part, les extraits sont tirés de Gagner la guerre pour Jean-Philippe, de « La Gantière et l’équarisseur » pour Francis, de Thomas le Rimeur pour Ellen et de « La Cité travestie » pour moi.

 

 

 

ActuSF a également mis en ligne une bonne partie des conférences des Imaginales, en audio ou en vidéo – notamment celle sur les blogs, Twitter, Facebook and co à laquelle je participais avec Lionel Davoust, Maïa Mazaurette et Emmanuel Chastellière d’Elbakin (en écoute ici).

 

Pour finir, le bureau des réclamations : c’est pas très gentil, m’sieur Moffat, d’avoir interrompu Doctor Who pour trois mois de vacances en terminant la moitié de saison sur un cliffhanger pareil. J’ai trouvé l’épisode « A Good Man Goes to War » brouillon et longuet, mais il contient deux scènes magnifiques : la toute première, et surtout la toute dernière. Amy et Rory y gagnent une nouvelle dimension, et la saison s’impose décidément comme étant celle de River Song, l’un des personnages les plus fascinants de la série. Espérons que Steven Moffat arrivera à développer le personnage et à nous dévoiler son histoire sans atteindre le point où il en dira trop et où River Song cessera d’être un fascinant mystère, en même temps qu’une très belle idée incarnée. Pour l’instant, malgré le côté un peu foutraque de ce début de saison, j’ai confiance. Et puis la traductrice en moi ne pouvait qu’adorer la façon dont la révélation de ce milieu de saison est amenée. « The only water in the forest is the river »…

 

 

 

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Carnaval sans images

 

Entre un emploi du temps chargé et un gros coup de fatigue précédant les vacances, vous aurez échappé à pas mal de développements envisagés sur ce blog puis écartés par manque de temps ou d’énergie. Sur Silent Hill que j’ai enfin terminé, et ma fascination pour la figure tragique et fuyante d’Alessa. Sur Black Swan, que j’ai tout de même chroniqué sur le Cargo. Sur mes lectures récentes : le Peter Pan de Barrie que j’ai trouvé étrangement déprimant, et Au risque de se perdre, excellent polar de Cathi Unsworth découvert presque par hasard, qui se déroule dans le milieu de la critique rock et du cinéma, et où Londres devient l’aimant de paumés en tous genre, de personnages blessés par la vie qui cherchent à oublier les drames vécus dans de petites villes aux histoires sordides. Et sur Londres, justement, où je serai dans une dizaine de jours et où j’ai déjà prévu beaucoup trop de choses à voir et faire – à commencer par l’exposition Doctor Who Experience pour laquelle je viens d’acheter ma place. La geek en moi ne peut pas résister à l’envie de voir en vrai les costumes de la série et un authentique décor du Tardis période David Tennant.

 

Ce que je ne pouvais pas manquer de poster ici, en revanche, c’étaient les photos du carnaval de Dunkerque, plus précisément de la bande de Malo-les-Bains dimanche dernier… Sauf que c’est précisément le jour que choisit Over-blog pour planter à répétition quand je cherche à poster des photos. En attendant de résoudre le problème et de pouvoir illustrer cette entrée, je vous renvoie à ma page Flickr où j’ai posté une partie des photos.

 

La fin de semaine sera marquée par le Salon du Livre (je signerai Kadath ce vendredi de 17h à 20h sur le stand Mnémos) et le passage en France de Kelley Armstrong dont j’ai traduit cinq romans pour Bragelonne. Et ensuite, il sera enfin temps de compter les jours me séparant des vacances.

 

 

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Ça se passe comme ça chez Neverland

 

Chez Neverland, la libraire s’appelle Mélanie et est fan de Doctor Who, deux preuves de bon goût s’il en est. Il y a un portrait de James Barrie aux murs et un rayon littérature anglaise à l’effigie de la Reine où j’ai acheté Peter Pan sans faire le rapprochement avec le nom de la librairie. La déco est jolie comme tout et les rayons bien fournis, où l’on peut farfouiller des heures. L’opération « Il faut sauver le soldat Neverland » fut une réussite. Beaucoup de monde, pas mal de signatures, habitués des lieux ou fans d’imaginaire ayant répondu à l’appel. La librairie Scylla était venue en force avec certains de ses plus gros acheteurs qui ont fait honneur à leur réputation.

 

Je rappelle l’adresse pour ceux qui voudraient soutenir cette librairie en situation difficile, ou tout simplement découvrir un endroit accueillant où acheter des livres : 37 avenue Stalingrad, 78260 Achères (ligne A du RER).

 

Bande-son du dimanche pour accompagner les de la journée d’hier : une découverte toute récente dénichée par un de mes camarades du Cargo, Hadestown d’Anais Mitchell. Après quelques écoutes distraites, l’album appelle irrésistiblement à y revenir. Tout ça m’a l’air aussi foisonnant qu’accrocheur et évoque un genre de comédie musicale sur fond de mythes grecs (j’ai cru comprendre qu’il y était question de Hadès et Perséphone).

 

 

 

 

Hélène Ramdani

 

Michaël Fontayne et Hélène Ramdani

 

Clément Bourgoin

 

Jeanne-A Debats

 

Nathalie Dau

 

Karim Berrouka

 

Jacques Mucchielli

 

Même les Poppets étaient de sortie

 

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Arlis et Marta

 

D’abord une couverture : celle de la version poche d’Arlis des forains à paraître chez Folio SF en septembre. Comme celle de Serpentine, elle est signée par le talentueux Bastien L. J’aime beaucoup la façon dont chacune des couvertures du roman, celle-ci comme celle de Didier Graffet chez Bragelonne, reflète à sa façon l’atmosphère du livre. Curieuse maintenant de voir à quoi ressemblera celle de Notre-Dame-aux-Ecailles, prévu pour début 2011.

 

 

 

 

(Et vous avez vu ? Cette fois, vous avez droit au vrai fichier de la couverture, pas à une photo maison versant dans le flou artistique.)

 

Une page d’agenda, ensuite, pour annoncer que je participerai ce week-end à deux salons. Samedi, la première édition des Futuriales d’Aulnay-sous-Bois. Dimanche, le salon Saint-Maur en poche (consacré comme son nom l’indique aux livres de poche, même si j’ai cru comprendre que chaque auteur présente également ses livres en grand format).

 

 

 

 

 

Un instantané musical pour finir. Photo prise hier après le tournage d’une session Cargo avec Marta Collica. Je crois avoir déjà parlé ici de Marta, que j’avais découverte dans le groupe de John Parish – figure discrète derrière son clavier, mais qui gagne une tout autre présence dès lors qu’elle se met à chanter. J’aime beaucoup sa voix, ses ambiances feutrées et je suis fascinée par sa chanson Faded bloom et son motif obsédant au piano. Je la voyais vendredi dernier en solo pour la première fois. Ses morceaux minimalistes gagnaient en puissance lorsqu’ils étaient soulignés par la présence d’un groupe (Atlas Crocodiles qu’elle accompagnait sur quelques titres), mais elle a juste assez de voix et de présence pour retenir l’attention lorsqu’elle est seule sur scène. Marta rejoue à Paris le mardi 15, à la Dame de Canton, et reviendra le 20 juillet en compagnie de John Parish au Batofar – un concert essentiellement axé sur les musiques de film de John, dont deux seulement (She, a Chinese et le superbe Rosie) sont disponibles sur CD. En attendant, ravie d’avoir pu assister à cette jolie session, prendre quelques photos et faire un peu plus ample connaissance hors des salles de concert. Dommage que mon italien laisse à désirer et que la conversation dérive systématiquement vers l’anglais en deux minutes chrono.

 

 

 

 

 

 

 

 

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J+1

Ma vie parmi les cartons, épisode suivant. J’adore les couleurs de ma chambre et on dort super bien dans mon nouveau lit. J’ai une table de salon qui permet de prendre des photos hyper conceptuelles. J’ai cru ne jamais venir à bout des cartons, mais les amis qui m’ont servi de déménageurs m’ont considérablement allégé la tâche ce samedi. Le déménagement lui-même a finalement été le jour le plus reposant de la semaine.

Là, présentement, j’ai une monstrueuse envie de dormir et hâte que les étagères de la chambre et du salon soient posées pour pouvoir commencer sérieusement le déballage, mais je suis ravie et soulagée. Demain, je rends les clés de l’ancien appartement et je tourne enfin la page.

Ce communiqué était sponsorisé par la connexion wifi du McDo local.

 

 

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